lundi 23 mars 2009

Tadam!

L'année dernière, Eve m'a itiniée au Marché Saint-Michel. Parmi les puces, j'ai trouvé un pied de lampe vintage qui avait du potentiel. Un pied métalique avec une grosse boule miroir. J'avais plus de mal à trouver l'abat-jour qui allait lui donner la gueule qu'il fallait. Ce week-end, mon amoureux et moi sommes partis à la conquête de son âme-soeur. C'est Nic qui a tranché: on prend la vache.

Elle a fière allure dans le salon.

mardi 17 mars 2009

Lake Jane s'amuse

Sur son blogue, Lake Jane m'a bien fait rigoler : "Being sick has its plus sides. For instance, I can spend an entire evening creating Polyvore outfits inspired by the one and only Frances "Baby" Houseman in Dirty Dancing..."

Voici l'une de ses reconstitutions, les autres sont ici.

via Lake Jane

samedi 14 mars 2009

La confection du pain de fantaisie

Dans le temps des Fêtes, l'amie Eve a organisé un party fifties. Chacun devait apporter un plat inspiré. J'ai décidé de fabriquer le pain de fantaisie que ma grand-maman faisait quand j'étais petite, et que j'aimais tant.

Un douzaine d'oeufs, un jambon et un poulet plus tard...






Décadent petit-déjeuner

Le plus copieux des petits-déjeuners que je n'aie jamais mangé. Au Café du clocher penché, rue Saint-Joseph à Québec. C'est sans compter la gourmandise de parfait au yaourt et fruits frais servi dans une flûte en guise d'aguiche. Soooo miam. Il y avait aussi un plat d'agneau braisé au menu. Mais c'était un peu trop rough pour la panse en ce samedi matin.



Halte confort à l'hôtel ALT...

L'hôtel-boutique ALT à Sainte-Foy. Repos assuré par la réputée douillette de duvet du Groupe Germain. L'amie Eve est une vraie convertie aux draps de la boutique Germain. Elle dit que le vrai bonheur se cache dans ses draps fraîchement repassés, lorsqu'elle se glisse sous la couette. Je la crois. Je n'ai juste pas la patience de repasser mes draps...








Pur bonheur à l'hôtel PUR

Hôtel PUR, rue Saint-Joseph à Québec. Petit bonheur urbain.














mardi 10 mars 2009

Pit pit et planche à pain

Cute!


via DVICE

Caution: HOT !


"These heaters aren't just artsy concepts. They're all real steam-heat radiators in production today (mostly in Europe)."

via DVICE

jeudi 5 mars 2009

Gum boots

via High Snobette


Création de Melissa Plastic Dreams. Allez voir sa collection, ça vaut la peine! Le chic de ses chaussures en plastique est vraiment étonnant.



Un Segway signé Chanel


via High Snobette

Rock in the kitchen

J'ai tout de suite pensé à l'amie MC.
Via Plasticland

dimanche 1 mars 2009

W-end à Québec City

Pour mon anniversaire, mon amour et moi avons décidé de nous évader à Québec. On a donc pris notre vendredi off et on a quitté Montréal vers midi. Sur la 20, y avait pas de neige, mais y avait comme une petite gadoue fatigante qui demandait du lave-vitre à peu près non-stop. Rendus à Laurier Station, mon chum a eu un coup de barre. J'ai donc pris le volant, et j'ai filé en bonne connaissance du terrain, moi qui ai habité Québec pendant près de trois ans.

Rendus à l'entrée du pont, là où il y a une méga courbe juste avant de tomber sur le pont, je roulais à l'extrême gauche et je suivais un camion. Moi, la gadoue, ça me déboussole, alors les "wippers", y allaient par là, en alternance avec le lave-glace. J'étais une as du wipper. J'avais très hâte d'aller déposer les bagages à notre hôtel du "Nouvo Saint-Roch" et d'aller fêter notre arrivée.

Pas si vite : les wippers s'arrêtent drette de même, alors que je suis ce foutu camion, dans une courbe, dans la voie de gauche. Je crie : "CHÉRIIIIIIIIIIII LES WIPPERS!" Chéri dort ben pluggé sur son iTouch. "CHÉRIIIIIIIIII" je lui donne des coups. Je ne vois que dal en avant. Danger, je mets les hazards.

Chéri finit par se réveiller et catcher le sérieux de la situation. Il ouvre sa fenêtre et attrape le wipper. Il wipe manuellement. Ouf, je change de voie pour me diriger de l'extrême gauche à l'extrême droite. Sortie boulevard Laurier, après trois wipes manuelles. On s'arrête dans un stationnement, rien à faire, ça fait "vvvvvvvvvvvvvvvv" quand on active les essuie-glace, mais rien ne bouge. Arrêt au Canadian Tire, pas de place, on prend les numéros de téléphone des concessionnaies Volks du coin.

Bon, y en a un sur Charest, c'est pas loin. On descend. "On peut vous passer, mais ça va prendre 1h30". On est dans le quartier Saint-Sacrement, où y a rien. En fait, on a le choix entre le Lady Marianne (danseuses XXX) ou le Normandin. Alors on va patienter au Normandin. Après des doigts de fromage dégueux, la serveuse qui nous demande si on est des inspecteurs (les Mac pis les iTouche, c'est pas courant au Normandin, surtout pas dans Saint-Sacrement), le monsieur qui veut payer d'avance parce qu'y veut pas que sa date sache qu'y a mangé des gnoignons rings, on retourne au garage. "C'est rien, finlament, c'est juste une malchance: une bolt qui est tombée." Le plus beau de toute cette histoire, ça a été la gastronomie du Normandin. On s'est payé la traite :